Carte postale du … Mexique

MEXIQUE

Quatrième édition. Aujourd’hui, d’un endroit où je n’ai pas mis les pieds, mes amis, pour me faire rêver, m’envoient une carte postale.

Voyageuse seule et intrépide, la jolie Monia a beaucoup d’histoires au fond de sa mémoire. Cette carte postale, elle me l’envoie du Mexique, où accompagnée de son mari, elle s’en est allé passer leur lune de miel « routarde ». Une destination de plus à ajouter à ma Bucket liste.

Mi dios es hermoso país.

¡Hola ITWIA !

Nous venons à peine de rentrer et c’est de notre salon parisien que nous t’écrivons,  tant que nos souvenirs sont encore frais.

Partir pour 17 jours dans un pays aussi grand que le Mexique dans un continent aussi grand que l’Amérique latine, c’est un peu comme prendre un apéritif à Noel. Autant dire que c’est juste un petit aperçu pour nous donner envie de partir plus longtemps.  C’est dans l’avion, direction Cancùn, que nous avons commencé à définir plus précisément notre itinéraire avec nos sensibilités et nos envies : un peu d’histoire, un peu de ville et beaucoup de nature.

En bons routards, notre crédo c’est l’impro ! Notre itinéraire peut être modifié au gré du vent, des rencontres, de nos envies, alors nous ne réservons jamais rien.  C’est en sortant de l’aéroport, happés par l’humidité et la chaleur que nous rencontrons une française qui cherche, elle aussi, le bus qui va au centre ville. Son voyage à elle, durera un an. Nous sympathisons, discutons  durant le trajet et arrivés au centre ville, nous partons ensemble vers une auberge de jeunesse.

Nous arrivons à L’Orquideas Hostal qui annonce l’ambiance avec ses fresques de street-art aux murs et ses hamacs. Des gens du monde entiers discutent, en anglais, en espagnol, mangent et boivent autour d’une grande tablée où nous nous installons aussi.   Nous venons d’arriver et déjà nous n’avons plus envie de repartir, ce sentiment de liberté que procure l’ailleurs s’installe doucement et la France nous parait bien lointaine.

Au réveil le lendemain, nous ne trainons pas, nous allons à la gare routière. Direction Chiquila. Après 3h de route, nous prenons le ferry pour 100 pesos, 15 minutes de trajet suffiront, nous arrivons sur l’île ou commencera vraiment notre voyage : Holbox (se prononce Holboch).

Le temps semble s’être arrêté sur cette île que nous découvrons avec nos sacs sur le dos. Du sable, partout,  du sable, blanc, farineux, avec des flaques d’eau ici et la. Nous croisons des caddies de golf qui officient comme taxis sur l’ile où les voitures sont interdites. Une atmosphère particulière se dégage de l’endroit. Nous trouvons un lieu où dormir, rien n’était indiqué sur la devanture du petit bâtiment mais les portes étaient ouvertes et les gens semblaient sympathiques, on leur a demandé «  buscamos una habitacion para dos personas »  et hop c’est parti, on discute, on baragouine tant bien que mal, Antonio et Nelly , frère et sœur, sont ravis de nous accueillir. Nous négocions le prix, et nous voila seuls pensionnaire d’un hôtel vide.

Nous déposons nos affaires et partons immédiatement à la rencontre d’Holbox. Nous arrivons sur la plage où de nombreux pélicans et autres volatiles ont établis domicile. Il n’y a pas grand monde ici, les oiseaux semblent plus nombreux que les humains. Nous marchons sur l’ile, au bord de l’eau, puis dans les rues, parfois inondés des pluies diluviennes qui ont lieu ces derniers temps. Les maisons sont en bois et peintes de couleurs vives. Nous croisons aussi des visages sur certains murs,  le street-art est étonnement bien présent sur l’ile. Un tour en vélo le long de la mer, pour faire mieux connaissance avec les environs et leurs habitants, des moustiques et puces de sable très coriaces.

Le lendemain, journée en bateau. Des dauphins dansent dans l’eau. Un peu plus loIn , nous péchons des poissons que le capitaine de notre lancha cuisinera ensuite ensuite en céviché. Oignons, tomates, citron vert, poisson cru en dés, un soupçon de coriandre et le tour est joué. Un délice. Snorkelling à Cato Caboche, lieu de jonction des deux courants marins. Manque de chance, il pleut des cordes quand nous arrivons. Nous accostons alors sur un rivage désert, le ciel gris est menaçant. Nous sommes seuls sur cette plage qui a des airs de bout du monde. Mais le soleil refait son apparition et apparaissent alors, sur notre chemin, des flamands roses qui marchent sur l’eau turquoise. Scène incroyable et irréelle qui marquera notre voyage.

Nous quittons Holbox aux aurores,  pour aller à Mérida, capitale du Yucatán. Grande ville,  parfois étouffante, qui cache, de belles bâtisses coloniales. Nous prenons un tandem pour descendre l’avenue Montejo, les Champs Elysées mexicains. Pas de grands magasins ici,  mais de somptueuses demeures du début du XXème siècle construites par de riches marchands de sisal.  Le soleil brule et l’humidité nous épuise.

La chambre de notre auberge, donne sur le zócalo, la place centrale d’où nous pouvons admirer la cathédrale et les musiciens qui viennent, dès la nuit tombée, jouer sur les terrasses des restaurants.

Le lendemain, nous allons à Uxmal (se prononce Ouchmal) un des deux sites mayas les plus importants du Yucatàn avec Chichén Itza mais moins populaire à en croire le peu de touristes que nous croisons quand nous arrivons la bas.  Nous sommes accueillis par la Piramide del Adivino qui nous surprend à notre entrée dans la zone archéologique. Massive et imposante, elle donne le ton avec ses 35 mètres de haut. La légende raconte, qu’elle aurait été érigée en une nuit par un nain aux pouvoirs magiques. Drôle non ?

Marche et découverte sous un ciel bleu, la chaleur est assommante et nous croisons de nombreux iguanes qui se prélassent au soleil.  Seuls au pied de la Gran Piramide de 32 mètres, l’invitation est trop tentante, nous décidons de monter. L’ascension est raide mais l’arrivée au sommet nous permet d’avoir une vue sur l’ensemble du site maya qui émerge de la foret. Royale. 

Après une belle après-midi, nous partons sous une pluie torrentielle. Mauvaise surprise, le bus n’arrive pas, et à en croire les locaux qui attendent à nos côtés, il faudra attendre 1h30 avant que le prochain ne passe. Soyons fous, n’attendons pas !  Nous levons notre pouce en faisant signe aux voitures passants sur le chemin et au bout de quinze minutes, un pick-up s’arrête. Deux mexicains nous prennent dans leur véhicule, ils ne vont pas à Mérida mais dans une ville voisine que nous ne connaissons pas. 70 km plus tard, nous les remercions pour leur gentillesse. Le nom de la ville dans laquelle ils nous ont arrêtés ? : « UMAN ». True story.

Nous prenons un bus pour arriver à Mérida, reprenons nos affaires laissés dans un locker de la guesthouse et repartons aussitôt direction la gare routière ADO où nous avons un car pour San Cristobal de Las Casas dans le Chiapas.  15h de trajet nous attendent. Départ 19h45 arrivée 11h du matin.

Mais à 8h du matin, nous nous arrêtons pour..ne pas repartir. La route est bloquée nous dit le chauffeur, il ne peut aller plus loin. Nous avons le choix de, repartir à Palenque , à 3h d’ici ou de se débrouiller à partir de l’endroit ou nous sommes. C’est-à-dire au milieu de nulle part. Nous décidons de poursuivre notre chemin en compagnie de quatre autres routardes. Nous trouvons un pick up qui accepte de nous avancer à la prochaine gare routière pour une somme modique. Finalement, nous arrivons à San Cristobal vers midi après avoir pris une camionnette, fait de la marche et repris un collectivo. Nous apprenons par la suite, que ce sont les Les Zapatistas qui avaient volontairement bloqués la route. Classique dans le coin visiblement.

Nous prenons un café assis sur deux tabourets chez un marchand ambulant, nous sommes arrivés mais déjà fatigués !

San Cristobal est la plus vieille cité espagnole de l’état du Chiapas et une des plus jolies villes du Mexique. Ici,  Les couleurs des murs défilent mais ne se ressemblent pas. La chaleur et l’humidité semblent être de lointains souvenirs, à 2140 mètres d’altitude,  ici l’air est sec et frais.  La ville est agréable et bon marché pour ne rien gâcher.

Beaucoup d’indigènes Mayas viennent dans la ville pour vendre leurs artisanats : ponchos et écharpes en laine tricotées et autres vêtements brodés.  Les femmes sont belles, la peau tannée par le soleil, elles ont aussi le visage marqué par la fatigue car elles sont là, du matin au soir, au marché mais pas seulement, dans les rues, un peu partout.  Les enfants eux, vendent  des bracelets, des bonbons au miel et parcourent la ville, des écharpes pleins le dos,  aussi, comme les grands.

La ville nous transporte par ses plaisirs simples : marcher, se perdre dans les ruelles colorées, acheter des fruits exotiques pour trois fois rien et se régaler sur les grandes marches qui mènent au temple de Guadalupe. Le samedi, un festival de street-art à pris place sur le zócalo, le contraste entre les femmes mayas et les artistes qui bombent les toiles est saisissant. San Cristobal est une ville incroyablement cosmopolite et débordante d’authenticité à la fois. Et c’est pour cela, qu’elle a été un véritable coup de cœur.

Pour clore cette belle semaine dans le Chiapas, nous décidons d’aller passer notre dimanche à San Juan Chamulas.  Le marché est coloré est regorge de fruits et légumes en tous genres. Il y a une animation avec un orchestre, l’ambiance est à la fête.  Les locaux boivent des bières, du Coca-Cola et de la téquila attablés sur la place de l’église.

Cette église, est un des endroits qui a le plus marqué notre voyage. Oubliez toutes les représentations que vous pouvez avoir des lieux de cultes. Oubliez la monotonie ambiante qui peut se dégager de certaines églises ou cathédrales. Le spectacle qui s’offre à nous quand nous pénétrons dans cette église est atypique,  inédit.  Ici , les bancs et tables sont poussés sur le côté pour laisser à chacun la liberté de se recueillir comme il le souhaite. Certains sont assis, d’autres à genoux, en tailleurs ou prosternés. Des aiguilles de pin jonchent le sol. Et partout, il y a des bougies. Petites, grandes, longues, sur des tables, au sol, partout, des bougies scintillent. Certains mangent, d’autres boivent et offrent même du Coca-Cola en offrande aux saints. Une vieille femme prie, des œufs à côté d’elle. Elle sort des herbes odorantes et se met à les frotter vigoureusement contre son front et ses bras. Nous assistons, silencieux à cette scène étrange.  Les photos sont proscrites à l’intérieur. C’est avec ses yeux et son esprit qu’il faut capter les images, les scènes, les moments qui ont lieu ici. Un dimanche mémorable.

Nous prenons un bus pour Chétumal, 15h de trajet nous attendent mais nous avons suffisamment de motivation à l’idée d’aller à la rencontre de Bacalar et sa lagune aux sept couleurs.  Depuis Chetumal nous prenons un collectivo et c’est tôt le matin que nous arrivons sur le parque centrale de la ville.

Nous trouvons, par hasard, le meilleur des endroits où dormir. La chance nous sourit, nous avons eu la dernière chambre. L’herbe est fraichement coupée, les palmiers nous disent bonjour et là, à quelques mètres, la lagune.

Le ciel est gris et laisse présager des orages à venir. Mais la lagune, elle, est imperturbable.

Nous apercevons déjà deux belles couleurs. Un bleu marine, dominant,  et un filet d’eau turquoise qui se dégage au centre du bassin, comme s’il était éclairé, à cet endroit précisément, par un spot de lumière naturel. Pas de bateau, juste une voile au loin. Et pas de bruit, pas même celui des vagues. Tout est parfaitement calme et apaisé. Assis sur des chaises en bois au bord de l’eau, nous contemplons la beauté de ce lieu qui dégage une puissance sereine.

La ville n’a pas grand intérêt, soyons honnêtes, seuls les amoureux de la nature viendront ici pour profiter de cette magnifique lagune.

Au deuxième jour, nous décidons de faire un tour en bateau avec Amir, un mexicain rencontré la veille.  Il propose de nous emmener avec deux autres personnes pour nous faire découvrir les secrets de la Lagune. Amir la connait depuis toujours, son grand père était d’ailleurs le premier homme de Bacalar à proposer une activité touristique ici, il y a 45 ans de cela.

Nous partons ainsi, alors que la pluie se met à tomber du ciel, sur le bateau d’Amir en compagnie d’un serbe et d’un italien. La météo est aussi imprévisible que la couleur de l’eau, l’humidité et la chaleur sont toujours présentes mais la pluie et le soleil, eux, se succèdent sans jamais qu’on ne s’y attende. Amir nous emmène dans la mangrove, puis dans des coins où l’eau est aussi turquoise que la pierre. Nous nous arrêtons, pour se baigner, l’eau est douce et ne pique pas les yeux, un régal d’y plonger. Il y a à peine 2 mètres de profondeur, et moins par endroit. Marcher sur le sable dans cette lagune magique est un cadeau du ciel. Nous allons ensuite voir des cénotes ouvertes (du mot maya dzonot, qui signifie « trou d’eau », et se prononce cé-no-té en espagnol)  il faut mettre la tête sous l’eau avec un masque pour voir qu’un trou béant existe en dessous. Impressionnant et effrayant à la fois.

Une belle journée s’achève, nous partons le lendemain pour Tulum en voiture cette fois grâce à Marco et Andréa, rencontrés sur le bateau.

C’est à Tulum Pueblo que nous déposons nos sacs à dos. Tulum est divisé entre le village où nous dormons et le côté plage où des hôtels du style éco-chics (et accessoirement hors de prix) s’enchainent. Après avoir repéré les lieux à notre arrivée, nous divisons la journée qui suit en deux parties.  Le matin avec la visite de la cénote « Dos Ojos » où nous nous baignons dans l’eau transparente mais froide, très froide…entre stalactites et stalagmites. Et l’après-midi avec la visite des ruines mayas qui surplombent la mer. Le site est joli, bien conservé, agréable à visiter mais très touristique. Un peu trop à notre goût.  

Nous consacrons les deux jours suivants à Akumal, qui nous séduit très vite avec son décor de carte postale : eau turquoise-sable blanc-cocotiers. Ok c’est cliché mais tellement appréciable pour une fin de voyage. Grâce à nos masques et tubas, la mer des Caraïbes s’offre à nous tel un aquarium. Poissons multicolores et raies manta défilent devant nos yeux de citadins égarés.  Le must ? Les tortues, qui viennent brouter ici une algue qui pousse au fond de l’eau. Spectacle magique qui conclura notre beau voyage au Mexique.

On le savait déjà en arrivant mais on en est encore plus surs en repartant, 17 jours c’était trop court, et on a qu’une hâte, c’est de pouvoir repartir, cette fois, pour un bien plus long périple!

Alors,  Hasta luego ITWIA 😉

Monia

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# Transports

Se déplacer avec les bus ADO, différents prix en fonction du confort qui peut être excellent (écrans avec films, WC séparés, boisson incluse, wifi etc). Il y a des promotions régulièrement sur le site : www.ado.com.mx

 

# MERIDA

> Dormir à l’Hostal Zocalo – Calle 63 #508 x Calle 60 y Calle 62, Centro – Tél :+52 999 930

> A faire : louer un tandem chez Bicimérida – Calle 56-A, N° 495×45 y 47 Col.Centro – Tél : (999) 287-35-38

# SAN CRISTOBAL DE LAS CASAS

> Manger chez TierrAdentro – Calle Real de Guadalupe #24, Zona Centro – Tél :+52 967 674

# BACALAR

> Dormir à Casita Carolina – Costera No.15 X Calle 16 y 18 Apartado 35, Centro – Tél :+52 983 834

> A faire : un tour inoubliable en bateau sur la lagune avec Amir (Tél + 52 983 164)

> Manger à La playita – Av. Costera 765 esq. Calle 26 ( A dos cuadras del Fuerte de San Felipe /Two blocks north from San Felipe Fort) – Tél : +52 (983) 834-3068

# TULUM

> Dîner italien chez El Bàcaro. Pas local certes mais excellente adresse – Centauro Sur | Entre Calle Andromeda y Sol – Tél : +(52)9841359517

* Ne pas oublier dans son sac à dos :

  • 1 anti-moustique (très) efficace
  • un masque et un tuba pour ne dépendre de personne et pouvoir sortir des sentiers battus
  • une polaire pour le Chiapas et les bus souvent trop climatisés
  • un kway pour les pluies diluviennes qui ne préviennent pas
  • 1 petit dictionnaire franco-espagnol, ça aide 😉

Besos.

Retrouvez Monia et ses pérégrinations sur son compte IG @mimiiisan.

New-York vue du ciel

ITWIA ::: New-York vue du ciel from itwia on Vimeo.

Survol de NYC en hélicoptère ♥♥♥

La compagnie Viator propose de nombreux packages entre 12″ et 18″ de survol.

VIP Viator : survol de nuit en hélicoptère de NYC et croisière Statue de la Liberté : 185€

Savourez une vue imprenable sur Manhattan depuis le ciel, lors de cette visite exclusive VIP dans New York City ! Montez à bord d’un hélicoptère de luxe et survolez le pont de Brooklyn, l’Empire State Building, Ellis Island et Central Park lors de la seule visite nocturne en hélicoptère disponible à New York. Ensuite, admirez le spectaculaire panorama de la ville lors d’une croisière dans le port de New York et terminez par une coupe de champagne face à la majestueuse Statue de la Liberté.
Votre aventure commence dans la soirée à l’héliport du centre-ville de l’embarcadère 6, où vous vous élèverez vers le ciel à bord d’un hélicoptère de luxe pour un vol époustouflant de 15 minutes au-dessus de Manhattan ! Ensuite, vous serez accompagnés pour une courte promenade à pied jusqu’à l’embarcadère 16, où vous embarquerez dans un bateau taxi pour une croisière nocturne de 45 minutes dans le port de New York, incluant une coupe de champagne à proximité de la Statue de la Liberté. Ce vol de nuit exclusif en hélicoptère, parfait pour n’importe quelle occasion spéciale, vous offre une incroyable vue du ciel sur le pont de Brooklyn et la Statue de la Liberté, perchée majestueusement sur Liberty Island. Survolez le fleuve Hudson et repérez l’Empire State Building, l’immense étendue de Central Park.

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Pourquoi le faire? Parce que rien de plus impressionnant n’a été vécu auparavant.

Pourquoi si cher? Parce que oui c’est un budget mais à la différence d’une énième paire de Nike, il n’incombera pas sur le surpoids de vos bagages au retour, il sera fort lourd de souvenirs à contrario.

#BON VOL

LET’S GO METS!

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L’expérience du stade qu’il soit de baseball ou de basket est un événement immanquable dans une ville américaine.

Plus familial, le baseball était mon sport de prédilection. Ayant déjà eu la malchance de me voir annuler un match des Yankees il y a quelques années « in reason of an act of God » -autrement dit la pluie- il était inconcevable que j’en rate un nouveau lors de mon dernier séjour à NYC.

Les Yankees jouant en extérieur au moment des faits, je me suis rabattue sur les Mets (tout aussi populaire) au City Field Stadium à proximité de Flushing dans le Queens.

Casquette chapeauté, main de supporter enfilé, j’étais parée telle une new-yorkaise en ayant ma devise en tête #jeviscommeunenewyorkaise.

# DUREE

Une partie de baseball se joue en 9 manches, chacunes entrecoupées de longues pauses publicitaires (et oui même en live), sans limite de temps. Comptez environ 2h et même si vous arrivez en retard pas d’inquiétude vous ne manquerez que peu de choses.

Peur d’avoir faim? Pas de panique, il y a plus de vendeurs de snacks dans les gradins que de joueurs sur le terrain.

# TARIF

Les billets sont à réserver à l’avance sur le site Ticketmaster.

Les places pour un match des Mets coûtent moins cher que pour celui des Yankees, comptez entre 25 et 150$, gardez à l’esprit qu’une place à bas prix sera très bien.

LET’S GO METS!

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AMERICAN FOOD TIPS

# BLUE BOTTLE CAFE

Adresse / 160 Berry St | Brooklyn | NY 11249 | USA
+1 718-387-4160

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# ROEBLING TEA ROOM

Adresse / 143 Roebling St | Brooklyn | NY 11211 | USA
+1 718-963-0760

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# ROBERTAS

Adresse / 261 Moore St | Brooklyn | NY 11206 | USA
+1 718-417-1118

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# SHINOBI RAMEN

Adresse / 53 Morgan Ave | Brooklyn | NY 11237 | USA

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# BOZU

Adresse / 296 Grand St | Brooklyn | NY 11211 | USA
+1 718-384-7770

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# CAFE ORLIN

Adresse / 41 St Marks Pl | New York | NY 10003 | USA
+1 212-777-1447

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# BROOKLYN CRAB

Adresse / 24 Reed St | Brooklyn | NY 11231 | USA
+1 718-643-2722

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* FOOD LISTE NON EXHAUSTIVE

> Brooklyn

# DUMONT BURGER / 314 Bedford Ave | Brooklyn | NY 11211 | USA

# MILLER’S TAVERN / 2 Hope Street | Brooklyn | NY 11211 | USA

# EGG / 135 N 5th St | Brooklyn | NY 11211 | USA

# ROSARITO FISH SHACK / 168 Wythe Ave | Brooklyn | NY 11211 | USA

# MEATBALL SHOP / 170 Bedford Ave | Brooklyn | NY 11211 | USA

# POSH /  252 Conover St | Brooklyn | NY 11231 | USA

# LOBSTER POUND / http://redhooklobster.com

> Manhattan

# MOMOFOKU / 171 1st Avenue | New York | NY 10003 | USA

# MOMOFOKU MILK BAR / 251 E 13th St | New York | NY 10003 | USA

# CAFE LALO / 201 W 83rd St | New York | NY 10024 | USA

# TEANY / 90 Rivington St | New York | NY 10002 | USA

# SHAKE SHACK / 366 Columbus Ave | New York | NY 10024 | USA

# CAFE COLONIAL / 276 Elizabeth St.| New York | NY 10012 | USA

# SCHILLERS LIQUOR STORE / 131 Rivington St.| New York | NY 10002 | USA 

# KITCHENETTE / 156 Chambers Street | New York | NY 10007 | USA

Merci à Fricote Magazine pour de nombreuses adresses.

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HIGH LINE

© The High Line

La High line, ce ruban vert qui se déroule entre les rue de Gansevoort St et la W34th St, est le dernier parc urbain de NYC. Son emprise aux bords de l’Hudson River dans le Lower East Side couvre 160ha sur 2,3km des traces d’une ancienne voie ferrée désaffectée.

#HISTORIQUE

Au début du XXe siècle les communications de Meatpacking District, le quartier des abattoirs de Manhattan sont saturées. Piétons, chevaux, carrioles, automobiles, camions, partagent la rue avec les trains qui circulent au beau milieu de la chaussée comme un banal tramway. Pour remédier aux gigantesques encombrements et aux nombreux accidents (la 10e rue est alors surnommée la rue de la mort), la construction d’une voie ferrée aérienne débute en 1930. Longeant l’Hudson River  la voie ferrée traverse certains immeubles et desserts directement des entrepôts de la zone. Lors de la décennie 50-60 on observe le déclin du rail au profit de la route, les camions supplantent les trains et le trafic de la ligne décline. En 1980 le dernier train circule avec trois wagons de dindes congelées. Désaffectée la ligne devient une friche industrielle urbaine envahie par les herbes folles. Dès 1979, l’architecte américain Steven Holl propose de réaménager les voies suspendues en jardin et les immeubles en lofts et logements sociaux.

La destruction parait inévitable, sous le mandat de Rudy Giulani, l’administration municipale projette sa totale démolition. Mais en 1999 Joshua David et Robert Hammond, deux riverains de la zone, fondent « les Amis de la High Line » (Friends of High Line), une association à but non lucratif dont le but est de sauver la structure de la démolition et de la réaffecter en équipement public de quartier. À l’instar de la promenade plantée parisienne aux abords de la Gare de Lyon, ils suggèrent un parc urbain suspendu. Forts de la mobilisation des habitants du quartier, l’association obtient le soutien du nouveau maire, Michael Bloomberg et en 2004 le financement de la ville est attribué.

De là démarreront les travaux qui dureront 5 ans. En 1999 la première des 3 portions de ce parc linéaire est inaugurée.

Source : Wikipédia

#ECOLOGIE

La High Line est « le plus long toit vert du monde » puisqu’en plus de son aspect récréatif, il permet d’avoir jusqu’à 80 % à la rétention des eaux de pluie, corrige l’effet d’îlot de chaleur et fournit de l’ombre, de l’oxygène ainsi qu’un lieu d’habitation pour les oiseaux et les insectes. La High Line est un lieu permettant une régénérescence de la nature à New York.

#DESIGN

Le parcours est ponctuée de diverses entités : du mobilier urbain dont les éléments s’extraient des lattes du sol, des mini-amphithéâtres sur lesquels il est bon de se détendre et des œuvres d’arts ici et là.

Il est interdit de : rouler à bicyclette / mendier / promener son chien / consommer des boissons alcoolisées / cueillir les fleurs / écouter ou jouer trop fort de la musique / fumer / jeter des détritus.

L’accès à la High Line est gratuit.

Le jardin est ouvert de 7h00 du matin à 19h00, tous les jours sans exception et est accessible depuis 9 points d’entrée ; du sud au nord :

  • Gansevoort Street
  • 14th Street (ascenseur)
  • West 16th Street (ascenseur)
  • West 18th Street
  • West 20th Street
  • 23rd Street (ascenseur)
  • West 26th Street
  • West 28th Street
  • West 30th Street (ascenseur)

Vous pouvez télécharger le plan « High Line Art Map » ici

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IN NEW-YORK i am…

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In New York, concrete jungle where dreams are made, oh
There’s nothing you can’t do, now you’re in New York
These streets will make you feel brand new
Big lights will inspire you, let’s hear it for New York
New York, New York

Dollars en poche. Décollage immédiat.

Les quartiers explorés ont été les suivants :  BROOKLYN et MANHATTAN

Pour croquer la pomme, il faut la vivre, vivre comme ses habitants, devenir New-Yorkais(e) le temps de votre séjour.

+ Pour cela s’équiper d’un plan de métro (à télécharger ici), d’une bonne paire de runners, d’un appareil photo et d’un plan/city map (à télécharger ).

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+ Pour cela louer un appartement, loft ou même une chambre chez l’habitant via AirBnb. Une mine d’or d’appartement charmant et innovant. Je me souviens de cet appartement au milieu duquel trônait une cabane en bois ou bien même de ces caravanes garées dans l’arrière cour d’un loft aux allures de cabinet de curiosité. New York c’est cela, la diversité, l’exubérance, la différence.

> Dormir dans une cabane ou une  caravane  au coeur de Brooklyn via AirBnb.

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BROOKLYN

L'un des 5 boroughs de la mégapole dans lequel il est agréable de séjourner, loin du chaos et de l'hyperactivité de Manhattan.

#1 WIlliamsburg

Objectif #jeviscommeunenewyorkaise : commencer par le Williamsburg nord en sortant au métro Bedford Ave. Arpenter le quartier  à la recherche des graffitis et autres street-arts qui couvrent les murs en brique, le must : le quartier de East Williamsburg en descendant à Morgan Ave, moins vivant car plus industriel mais c’est ici qu’il faudra habiter, demain, car c’est ici que l’appellation d’un loft prend son sens.

> Prendre un café au Blue Bottle Café – 160 Berry St.

http://www.bluebottlecoffee.com

> Pause Déjeuner au Café Colette au 79 Berry St. ou au Meatball Shop sur Beford Ave. pour reprendre des forces avant la longue balade de l’après-midi qui vous emmènera dans un autre univers que celui des bobo hipster. Un peu plus au sud le Roebling Tea Room vaut aussi son détour pour sa carte et son ambiance.

> Shopping chez Beacon Closet ou au Brooklyn Flea Market le long d’East River puis se détendre au East River State Park.

Descendre le long de la East River, passer sous le Williamsburg Bridge, jusqu’au quartier Hasidic situé entre Flushing Ave, Union Ave et Bushwick Ave. Une balade dans les rues de cette communauté juive orthodoxe est dépaysante, leur style de vie, leur architecture, leur culture hébraïque est unique au monde.

> A voir : un match de baseball au fameux Yankee Stadium ou au non moins faMeux City Field des Mets. Une ambiance américaine, des goodies de supporters à ramener en souvenir.

+ Un aperçu ici 🙂

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> Diner japonais Bozu sur Grand St. ou chez Shibomi Ramen sur Grattan St. ou même encore la meilleure pizza du monde chez Robertas sur Morgan Ave.

> Où sortir : Boire un verre au Wythe Hotel dont la terrasse vous offre une vue spectaculaire sur Manhattan puis redescendre sur Wythe Ave et s’intorduire dans l’un des nombreux clubs underground du quartier.

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#2 Downtown Brooklyn / Park Slope

Fief des Nets, l’artère d’Atlantic Ave divise Downtown de Park Slope. Au nord de l’avenue un quartier composé essentiellement de nombreux black-américains à l’instar de Harlem, au sud un quartier constitué de belles maisons Brownstone, de grandes rues commerçantes, de nombreux cafés, bars et restaurants.

> Shopping sur Fulton St. chez Dr Jayz où vous trouverez des Timberlands à bas prix et autres marques nord-américaines. Fulton St craque de magasins de sneakers, de streetwear et d’outlets. Elle a l’autre particularité de faire partie des plus anciennes rues piétonnes commerçantes de NYC entre Flatbush Ave et Adam St.

> Shopping sur les 5th (Beacon Closet), 6th et 7th Ave chez Brooklyn Industries.

> Avaler un hotdog chez Frankfurters si vous êtes du côté de Fulton ou bien chez Bark si vous errez vers Park Slope.

> A faire : le jardin botanique de Brooklyn (BBG).

> A voir : un match de basket de l’équipe brooklynoise des Nets. Le Barclays Center (du nom de la banque) inauguré en 2012 vaut le détour de part son architecture au milliard de $ (sans exagération aucune).

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#3 Coney Island

Aller à Brighton Beach c’est un peu comme partir en week-end en province. Une petite heure de trajet pour joindre la péninsule située au sud de Brooklyn.

> A faire : un tour dans les différents manèges du parc d’attraction qui borde la plage.

> A voir : l’océan Atlantique.

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#4 Red Hook

Red Hook paraît inatteignable durant votre trajet mais lorsque vous atteignez ce petit quartier isolé la vue sur la sky line en face vous rappelle qu’ NYC vous êtes bien. Tellement bien que vous risquez d’avoir envie de vous y installer dans une vie future mais ça c’est une autre histoire. Il n’y a pas de métro qui relie ce quartier des docks, il vous faudra prendre un bus (le B61 depuis Park Slope ou Brooklyn Height) et vous en reviendrez par la navette gratuite d’IKEA (le suédois à NYC) qui vous déposera au PIer17 à Manhattan.

Votre point de départ de ce quartier sera Van Brunt St. après avoir pris un café au Fort Défiance, la balade commence.

> A faire : se balader sur Van Brun St. jusqu’aux docks. Jouer les curieux et entrer dans les ateliers d’artisans (imprimeur, ébéniste …) puis remonter sur Bowne St.

> A voir : la distillerie Widow Jane dans laquelle vous pourrez déguster du Whisky made in Brooklyn et du chocolat de la même provenance. L’espace est incroyable, une cour trône au coeur de l’usine, les fûts, et les containers vous transporteront dans une scène digne de « Charlie et la chocolaterie ».

> Déjeuner au Brooklyn Crab de délicieux crabes et autres crustacés (du poulet aussi) dans cette guinguette.

Après avoir piétiné ce quartier de long en long, une croisière à bord des Taxi Boat NewYorkais gratuit car mis en place par Ikea (les w/e seulement) s’impose. Du bateau vous admirerez la city de Wall Street, les collines de Brooklyn Height et là alors New-York prendra tout son sens.

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Enfin vous poserez les pieds sur Manhattan puis vous retraverserez l’East River en empruntant le famous Brooklyn Bridge. De l’autre côté de la rive, arpentez DUMBO (District Under the Manhattan Bridge Overpass), installez-vous sur la baie entre les 2 ponts et contemplez. Fabulous.

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MANHATTAN

Du sud au nord (excepté Ground Zero et les quartiers Est et Ouest de Central Park dans lesquels il faut quand même se perdre), le borough le plus important de la ville en soi.

#5 Lower – SOHO/NOHO/Bowery

* classé quartier historique au National Historic Landmark

La géolocalisation de Houston Street donne son nom aux 2 quartiers sud : SOuth of HOuston et NOrth of HOuston.

Connus pour ses centaines de galeries d’art c’est surtout ses bâtiments à la structure et aux façades en fonte qui en font sa distinction. Ces immeubles comportent en général cinq à six étages. Leurs façades se caractérisent par de grandes baies vitrées et la présence d’escaliers extérieurs rajoutés au début du XXe siècle.

> Shopping sur Broadway chez Urban Outfitters, American Apparel, Anthropologie, Opening Ceremony, Bape

> A voir : NEW MUSEUM des architectes japonais SANAA au 235 Bowery.

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#6 Meatpacking/Chelsea

> A voir / A faire : se balader sur la High Line ♥ 

Ce projet me suit depuis 10 ans (référence à mes années d’archi).  Lors de 2 voyages antérieurs au dernier, le projet était en… projet puis en chantier. Je n’avais donc jamais pu y mettre les pieds. Alors quand j’ai enfin pu fouler les rails de cette ancienne voie de chemin de fer désaffectée, ce qui est à mes yeux le plus ingénieux projet urbain depuis longtemps, j’ai touché le bonheur des doigts. Et puis la… plus de batterie dans mon Fuji. Le drame. Un drame qui m’a permis de vivre l’instant, de me balader… au gré du vent 😉

> Dormir au Standard Hotel pour une nuit de folie (budget de folie) pour une vue hors du commun.

> Où sortir : plonger dans l’ivresse nocturne de Meatpacking en sirotant au Bain, le bar du Standard Hotel avec vue et piscine.

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#7 Midtown – Union Square/Times Square/Central Park

Les lieux les plus représentatifs new-yorkais : Central Park, 341ha de verdure et Times Square, 19 millions de LED sur le mur du Nasdaq sont situés dans cette zone. Cette zone où il est impensable de regarder ses pieds car vos yeux vers le sommet des gratte-ciels sont attirés : Hearst Tower, Woolworth Building,

> A faire : se balader dans le poumon vert, observer les écureuils, faire un jogging autour du réservoir tel Charlotte dans SATC, picniquer sur la pelouse (quand il fera beau hein?!) puis monter en haut de l’Empire State Building pour admirer le coucher du soleil avant de redescendre à la nuit tombée au(x) « Crossroads of the world » et prendre l’un des 100 millions de clichés annuels pour immortaliser VOTRE séjour dans la big apple.

> A faire aussi : se promener sur Union Square, écouter les différents activistes, regarder les nombreux shows de rue et aller découvrir la caverne d’Ali Baba qu’est la boutique ABC Carpet & Home, mecque de la décoration.

> A voir : une comédie musicale ou un concert au Radio City Music Hall.

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#8 Harlem

Le quartier Afro-américain, berceau des créations musicales américaines, du jazz au gospel, de Duke Ellington à Louis Armstong, des revendications nationalistes noirs avec Malcom X, des guerres de gangs aussi et du Harlem Shake (?) évidemment.

> Shopping sur la 125th St. pour trouver des sneakers et des casquettes.

> A faire : entrer au hasard d’une église et écouter un gospel intime, pas un de ceux dont on amène le public par bus-tours.

> A voir : un concert de jazz à l’Apollo Theater – 253 West 125th Street

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* LES INRRATABLES

Musées > MOMAGuggeinheimMETAmerican Museum of Natural HistoryMAD

New York c’est fini pour cette fois-ci, il y a tant à dire, tant à explorer, trop peu de mots pour la décrire alors pour mieux la comprendre croquer la .

Website / www.visiter-newyork.com

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* Toutes les photos de moi ont été prises par ©Kares Le Roy

#BON VOYAGE

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